Notre formation va tourner autour des point suivants.
On va commencer par donner une définition de l’agro-homéopathie, un petit aperçu de l’historique parce que c’est une nouvelle science. Quelques mots sur l’intérêt de l’agro-homéopathie, puis nous allons consacrer un petit moment sur les fondements.
Car pour bien maîtriser l’homéopathie, il faut d’abord maîtriser ses fondements !
Puis nous allons voir comment on utilise l’hémopathie dans le traitement contre les maladies et les ravageurs des plantes.
On va diviser cette partie en deux : dans un premier temps, on va parler des traitements en imitant la nature. Dans la nature, pour lutter contre un parasite, on utilise un axillaire.
Et pour lutter contre une autre plante, il y a l’allélopathie. On va donc voir si on peut faire pareil que la nature.
On peut également voir comment on traite en comparant les plantes aux hommes.
Par la suite, nous verrons comment on fait pour choisir le remède : on fait une répertorisation en prenant en compte la totalité des symptômes. Cela nous aidera à choisir le remède et la dilution à utiliser.
Et, en fin de compte, on parlera des techniques d’application. Comment appliquer les remèdes : par pulvérisation, au pied de la plante ou bien les deux à la fois.
Enfin, on donnera un aperçu du répertoire qui n’a pour l’instant qu’une dizaine de pages : ce n’est pas encore le répertoire de Kent !
MORI Corinne –
J’ai beaucoup apprécié les cours de M. YAACOUBI.
C’est courageux d’avoir oser utiliser l’homéopathie dans le domaine agricole.
C’est déjà pas facile de l’appliquer en médecine, mais là c’est encore plus aléatoire..
Les plantes ou les animaux ne s’expriment pas de la même manière ce qui compliquent encore plus l’approche de la maladie et ses diagnostics.
Merci, je suis un particulier et la pédagogique des cours m’a permis de bien cerner comment on doit aborder les traitements appropriés sur certaines maladies.
Je vais m’empresser de mettre en application certains remèdes pour les pucerons des amandiers ou la rouille du plaqueminier.